Arf... les engrenages ne peuvent pas se taire un peu ¬¬ [Libre - 3 autres maximums]

[Nombre de personne maximum atteint, l'ordre de réponse est donc de Moi, Will, Zed et Ailydis ]

Assise en tailleur entre deux des énormes engrenages qui servaient à faire tourner les immenses aiguilles de l'horloge, Léandre faisait ses devoirs. Elle avait deux rouleaux de parchemins à remettre pour son prochain cour de métamorphose sur le nouveau sort qu'ils avaient appris en classe récemment. D'un mouvement mécanique, la jeune fille trempait sa plume dans son encrier au fur et à mesure qu'elle grattait sa plume contre le parchemin pour écrire, quoi que le grattement était enterré par le bruit épouvantable que faisait les engrenages de l'horloge. Seulement, celui-ci ne la dérangeait absolument pas. Elle avait eut le temps de si habituer.

Depuis qu'elle était entrée à Poudlard, soit cinq ans plus tôt, le troisième étage du bâtiment de la tour de l'horloge, soit le dernier avec tout les engrenages était devenu son refuge. À cause de son sang de Vélane, elle se faisait souvent regarder par les autres, pas qu'elle le chercher intentionnellement, mais c'était comme ça. C'était une chose qu'elle ne pouvait pas vraiment empêcher. Alors quand les regards des autres se firent un peu trop oppressant, elle se mit à se chercher un endroit ou elle pourrait rester seule et fuir les yeux des élèves. C'est ainsi qu'elle se retrouva au troisième étage de la tour de l'horloge. Au fil des années, elle prit l'habitude de venir y faire ses devoirs, trouvant la bibliothèque et le dortoir des Serdaigles un peu trop peuplé à son goût. Bien sûr, le bruit fait par les engrenages était insoutenable et parfois elle souhaitait même qu'ils s'arrêtent pour de bon, mais elle s'habitua à ceux-ci et finit par ne même plus les entendre.

Une fois son devoir terminé, elle ferma son encrier et rangea celui-ci, ainsi que sa plume et les parchemins, soigneusement dans sont sac. Elle posa le sac contre le mur et s'allongea sur le plancher à coté de celui-ci. Léandre lança un vague regard vers la fenêtre et constata que le soleil était encore haut dans le ciel. Puisque son prochain cour n'avait lieux qu'après le souper puisque celui-ci était l'astronomie. Elle avait donc plusieurs heures devant elle et Léandre décida de piquer un somme. Elle sortit un livres de son sac, l'ouvrit à une page au hasard et le déposa sur son visage afin de protéger ses yeux du soleil et s'endormit le visage cacher sous son bouquin.

William jogait à un bon rytme dans les marches del'horloge. Il arriva en haut et se plaça sur le rebord pour observer le paysage. Comme de n'importe quelle fenêtre, la vue était magnifique. En fait, tout ce qui entourait Poudlrard était beau. Il aimait bien, lors de son joggin, venir ici pour prendre une petite pause. Il prit une grande respiration et se retourna pour desendre lorsqu'il faillit se planter sur quelque chose. Il réussi à frêner et vit qu'il s'agissait d'une fille. Elle avait un livre sur le visage et semblait endormi. Il se pencha accroupi à côté d'elle. « Qu'est-ce qu'elle fou à dormir ici? Voyons... Bon, elle a l'insigne des serdaigles... pourquoi elle n'est pas à son doritoire?» Will essayait de trouver ce qu'il devait faire. La réveiller, la laisser la...

Il reparti dans son joggin et commença à descendre les marches. Lorsqu'il arriva au premier, il s'arrêta. Et si elle avait des problèmes? Pourquoi il pensait encore à elle. Bon, tent pit, aussi bien aller la réveiller. Il remonta les marches en courant pour revenir au troisième. Au moins, il aura fait plus d'exersice. Il retourna vers la fille et se repencha à côté d'elle. l soulva doucement le livre et vit qu'elle dormait belle et bien. Il secoua légèrement son épaule et lui dit:

-Heille. Désoler de te déranger, mais ce n'est surement pas l'endroit idéal pour dormir. Comment tu fais pour dormir avec l'horloge?

Alors qu'il sentit que la fille se réveillait peut à peut, il entendit les marches grincer. Quelqu'un d'autre arrivait. Il regarda la fille et lui dit:

-Tu vois, une chance que je t'ai réveillé. Bon, voyons voir qui nous rend visite.

William se releva et se dirigea vers l'entrer. Il regarda en bas des marches et fut surpris. De tout ceux qu'il connaissait, il ne s'entendait pas à voir cette personne.

Zed monta les marches de l'horloge d'un pas calme. Il ne venait pas souvent ici, voir jamais, mais lorsqu'il venait s'était toujours pour résoudre un problème. Le tic-tac si bruyant de l'horloge, qui dérangeait tout les autres éleves, le relaxait et aidait son cerveau a mieux se concentrer sur son problème. C'était idiot, mais c'était comme ca.

Il entendit des voix et se murmura pour lui-même:

-Ha zut. Bon, je vais quand même aller voir, peut-être qu'ils sont vont.

Il finit sa montée des marches et tomba nez-à-nez avec William, un éleve de griffondor contre qui il s'était battus l'année passé, et contre qui le match avait fini nul. Zed gardait une profonde rancoeur de ce duel, car s'il détestait perdre, il détestait encore plus les matchs nuls, puisque cela indiquait que tu te situait exactement au même niveau que ton adversaire, et que... et puis zut hein, il détestait les matchs nuls. Point.

-Tient tient... William...

Il remarqua alors l'autre fille qui avait l'air totalement fatigué.

-Tu n'est pas dans serdaigle, toi?

La poufsouffle courait. Son sac se balançait d'un côté et de l'autre alors qu,elle utilisait toute son énergie à courir comme une débile vers l'horloge. Il lui frappait le dos, lui faisait un peu mal dut au nombre de livres dans son sac. Ses souvenirs de voyages dans son pays natal faisait un drôle de bruit alors qu'ils s'entre-cochait. Tout ce qu'elle entendait alors qu'elle courait était son propre souffle alors qu'elle respirait. Elle s'arrêta brusquement devant les escaliers menant à l'horloge, manquant de tomber. Elle grimpa les marches quatre par quatre, une drôle de détermination sur le visage. Elle remarqua quelqu'un devant elle, en haut de l'escalier.

Elle s'arrêta derrière lui, reprenant son souffle à grand coup, un sourire aux lèvres. Ce pourquoi elle avait si hâte d'être là était simple : elle voulait pratiquer un nouveau sort qu'elle avait apprit, et pour cela, elle avait besoin d'un cobaye!

C'est pourquoi elle cherchait autant son frère.

Elle entendit l'élève devant elle prononcer ce nom, ce qui la fit d'avantage sourire.

-Willi!!

Elle adorait l'appeler comme ça, simplement par plaisir...Elle utilisait ce surnom à chaque fois qu'elle voulait lui demander quelque chose.

Léandre faisait un rêve très agréable jusqu'à ce qu'un rayon de soleil vint lui taper sur les paupières, suivit d'une secousse légèrement brutale. Non mais qui OSAIT la réveiller dans sa sieste habituel du mercredi. Il faut dire qu'elle piquait un somme tout les mercredis dans la tour de l'horloge juste avant d'aller souper puisque son après-midi était libre et que ses soirées servaient à terminé ses devoirs. Parce que, malgré son intelligence et sa facilité à comprendre et à retenir la matière, les devoirs prenaient un certain temps à faire. Et donc, elle n'acceptait vraiment pas qu'on la dérange durant ses siestes.

Elle ouvrit ses grands yeux bleus, les referma, puis les ré-ouvrit avant de les plissé le temps que ceux-ci s'habitue à la lumière ambiante. Elle souleva la tête et vit le garçon qui avait eut l'audace de la réveiller. Un gryffondor en plus si elle se fiait à la cravate qu'il abordait. Au début, elle pensa à le frapper, lui lancer un sort et l'insulter, mais elle trouva cette solution pas assez raffiner. Elle se contenta donc de remettre le livre sur son nez et de l'ignorer royalement, cherchant à se rendormir.

Seulement, elle se mit à entendre d'autres personnes et en plus les personnes n'essayait même pas de parler à voix basse comme le veut la politesse lorsque quelqu'un dort, mais elles hurlaient et leurs voix se répercutait un peu partout couvrant presque le bruit des engranges. Léandre comprit très bien que sa sieste était terminé, jamais elle ne pourrait se rendormir avec tout ce boucan.

Énervée elle se releva en enlevant le livre de son visage, le fourra dans son sac d'un geste brusque et d'un seul mouvement remit son sac sur son épaule. Sous le coup, ses cheveux était très ébouriffés et qui gonflait un peu, lui donnant des airs d'oiseaux furieux. Arrivé derrière le membre de Gryffondor aux cheveux foncés, elle lui donna un coup de pied derrière un de ses genoux.

- Non mais ça va pas de réveiller les gens alors qu'ils dorment!!! commença-t-elle en hurlant. Et en plus vous avez besoin de hurler!! Si les engrenages vous déranges à ce point, eh bien c'est certainement pas eux qui vont se taire, alors filer discuter ailleurs et laissé-moi me complaindre dans ma solitude! conclue-t-elle

D'une main, la semi-vélane replaça les mèches de cheveux derrières ses oreilles d'un mouvement gracieux, alors que ses yeux bleus magnifiques lançaient des éclairs aux trois autres.

Zed éclata de rire, habitude, mauvaise, qu'il avait prit. A chaque fois qu'une situation genante se présentait, il ne savait plus comme réagir et partait a rire. C'était sans doute parce que, dans sa famille, il y en avait beaucoup, des situations genantes. Zed arreta de rire et regarda les trois autres membres.

Il y avait la folle au poustouffle, qui venait juste de lui casser les oreilles en criant, ainsi que William, son ennemi de duel. La troisième était de toute éévidence une serdaigle, et de plus la plus belle serdaigle qu'il n'avait jamais vu. Son souffle se bloqua et il ouvrit la bouche, completement hébai. Elle avait l'air faché, mais Zed n'en avait cure, parce qu'il était completement ensorcolé par ses yeux. Totalement hébai, il tendit la main devant lui:

-Enchanté, moi c'est Zed.

William eut du mal à en croire ses yeux. C'est pas vrai, pas Zed. Il n'avait rien contre un bon petit duel, mais pas ici. Surtout s'il y a cette fille qui lui a gueuler dessus et l'a frapper juste parce qu'il l'a réveiller. En plus, il fallait que sa soeur vienne. Dès qu'il entendit Wili, il sut qu'elle voulait quelque chose. Pas bon, pas bon du tout. Alors, il a l'enrager endormi, le rivale de duel et la demi soeur. Super, qu'elle belle retrouvaille. Manque plus qu'un serpentard et on a de tout.

Will décida de commencer par celle qu'il avait vu en premier. Il se tourna donc vers elle et lui lança, d'une voie un peu arrogante:

-Si je t'ai réveillé, c'est pour pas que n'importe qui te trouve endormi, alors pas la peine de me crier dessus! NI DE ME FRAPPER!!

Il se retourna ensuite vers sa soeur et Zed. Il n'aimait pas trop de voir ses deux là en même temps. Individuel, sa peut toujours être marrant, mais les deux en même temps, pas du tout. Merde, et son joggin? Faut croire que c'est fini pour aujourd'hui. Il ne pouvait pas non plus se battre contre Zed sans prof, sinon, ils auraient des ennuis.

-Qu'est ce que tu me veux Aily? Je sais que tu veux me demander de quoi, aller, vide ton sac! Et pour Zed, j'aimerais bien qu'on rêgles nos quelques match nul, mais il faudra attendre un prof. À moin que tu veuilles te faire battre maintenant?

William sorti sa baguette de sa poche, près, au cas ou Zed ne pourrait vraiment pas attendre.

L'attitude de la fille enragea Ailydis. Personne n'a le droit de frapper son frère, sauf elle! Elle passa à côté de l'autre élève, le poussant un peu de son chemin. Elle sorti sa baguette et pointa la fille, sérieuse comme tout.

-Hey! J'ai des droits! Il n'y a que moi qui a le droit de le frapper!

Elle fit un grand sourire et baissa sa baguette, se tournant vers son frère.

-J'ai un service à te demander...mais je crois que tu es un peu occupé.

Elle observa le troisième présent. Pourquoi William parlait-il de duel? Elle lança un regard noir au serdaigle, jouant le rôle de petite soeur à merveille. Il avait beau l'énerver, ce qui arrivait trop souvent, mais il restait son demi-frère et cela impliquait le fait de s'inquiéter pour lui.

-Et je sais pas c'est quoi cette histoire de duel, mais je t'interdis de te battre ici! Pas question qu'on se retrouve dans la merde parce que vous êtes pas capable de réglé vos comptes autrement!

Elle serra sa main contre sa baguette, prête à intervenir si cela devait dégénéré.